Le blog de Roger Fajnzylberg

Ce soir au SEL, Tribunal 21

Ce soir à 21 heures au SEL, Tribunal 21, une histoire simple et lumineuse d’après le livre Lettres du Mont-Valérien sur une idée originale Jane Audoli-Courtault. La dramaturgie et mise en scène sont de Jérémie Fabre. Avec Olivier Sitruk et au violon Jean-Philippe Audoli Le tribunal 21 condamna Bernard Courtault, âgé de 20 ans, à être fusillé sur le Mont Valérien pour avoir perpétré un attentat porte Maillot. Ce jeune homme, Jane Audoli-Courtault a voulu le faire revivre en réunissant toutes ses lettres : des feuilles de papier à cigarettes griffonnées et dissimulées dans ses habits pour ne pas tomber entre les mains des geôliers. Par le biais d’un jeu d’acteur simple, épuré, le public peut découvrir la réalité d’un jeune garçon qui payera ses idéaux au prix fort : celui de sa vie. Sur scène, Sitruk enchaîne les rôles : du jeune résistant en passant par le père et même un des inspecteurs de police. Le violoniste, J-P. Audoli, neveu du résistant, donne une autre dimension aux lettres jouées… plutôt que lues. On découvre alors la plume d’un jeune garçon mêlant humour, mélancolie et inquiétude. De sa petite soeur Jane à sa fiancée en passant par les nouvelles du conflit, tout y passe dans sa correspondance entretenue durant sa captivité avec son père.

A voir samedi soir sur France 3 un film de Jacques Fansten

La République des Enfants est un très beau film réalisé par Jacques Fansten. Ce Drame historique se situe en Juillet 1945, dans une ferme du Vercors. Depuis plusieurs années, Célestin et Madeleine ont recueilli, caché et éduqué des enfants, juifs, espagnols, ou fils et filles de résistants, dont les parents ont disparu. Ce couple d'instituteurs pratique avec eux les méthodes d' «éducation nouvelle» qui les ont toujours fait rêver, convaincus qu'elles dessinent l'humanité future. Les enfants y sont responsables de leur vie, de leur éducation et du fonctionnement de leur petite société : c'est «la République des enfants». Avec le retrait des Allemands et la Libération de la France, la maison du Vercors peut-elle survivre ? Ce rêve a-t-il encore sa place ? Le scénario est de Corinne Altas et Leïla Senati-Geiger. Une très belle distribution: Jacques Bonnaffé (Célestin), Caroline Proust (Madeleine), Bruno Wolkowitch (Garcin), Gérard Croce (Le maire), Noah Silver (Lucien), Frédéric Papalia (René), Lou Aisenberg (Dolores), Neil Christophe (Mosche), Hugo Crance (Jean-Jean). Il est diffusé demain sur FR3 en prime time de 20H35 à 22H10

Sèvres: l' exposition Bernard Thomas-Roudeix, au SEL.

Cette exposition se poursuit jusqu'au 6 Mars 2011 et je ne saurais trop vous conseiller de la parcourir sur le thème de la toile à la terre : Portrait d’une déchirure. Pour sa première exposition au SEL, l’association La Sévrienne des Arts fondée en 2009 invite Bernard Thomas-Roudeix, artiste polyvalent et confirmé, il présente le fruit de cinquante ans de travail, dans le sillage expressionniste de ses maîtres: Bacon, Tapiès et Dubuffet. Bernard Thomas-Roudeix a choisi le corps humain comme support principal de son art. Impossibilité de communiquer, difformités, souffrances: l’homme est pour lui «un vaste champ d’expériences et de possibilités d’expressions». Portraits peints à l’acrylique et bustes en céramique émaillée donnent l’illusion d’authentiques chairs déchirées, nous invitant à réfléchir sur le monde actuel et la complexité de l’âme humaine... entrée libre 47 Grande Rue 92310 Sèvres Tel. 01 41 14 32 32

Sèvres: Frédéric Mitterrand va doper la Manufacture.

Le Conseil des ministres a donné hier son feu vert à la création d’une cité de la céramique à Sèvres, dès le 1er janvier 2010. Objectif : accroître la renommée du site. Christine Henry écrit dans Le Parisien que c’est un nouvel élan pour la Manufacture Nationale et le Musée National de la Céramique, tous deux établis à Sèvres. Un décret portant sur la création d’une cité de la céramique a été présenté hier en Conseil des ministres par le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand. Il reprend un projet initié il y a quatre ans par Renaud Donnedieu de Vabres, l’ex-locataire de la rue de Valois. « Il s’agit de réunir au sein d’un établissement public administratif la Manufacture nationale de Sèvres et le musée national de la Céramique, qui dépendent aujourd’hui de deux directions différentes, explique David Caméo, directeur de la manufacture. Ce changement de statut juridique permettra de créer un pôle international de la céramique et des arts du feu. Cela favorisera le développement conjoint des activités de production, de diffusion et d’enrichissement des collections. » « Créer un pôle international de la céramique » Aujourd’hui, 5 000 pièces sortent chaque année des ateliers de la manufacture, où travaillent 120 techniciens d’art céramistes. Cette cité de la céramique devra poursuivre ses productions pour l’Etat, et la création de pièces contemporaines commercialisées auprès des grands collectionneurs privés français et étrangers. Elle aura aussi pour vocation d’enrichir les collections riches de 55 000 pièces, et de les rendre accessibles au plus grand nombre. Car, aujourd’hui, avec seulement 25 000 visiteurs par an, le musée, qui possède des pièces inestimables, reste confidentiel. Le nouvel établissement sera mis en place le 1 e r janvier prochain, et géré par un conseil d’administration dont le président sera désigné par Frédéric Mitterrand. Des représentants des collectivités territoriales le président du conseil général ou son représentant et le maire de Sèvres seront associés à sa gestion. Davis Caméo croise les doigts : « J’espère que le nouvel élan et la synergie impulsés par ce projet permettront d’accroître la renommée du site. »

Affaire Mitterrand : et si on inculpait Léon Blum ?

Bernard-Henri Lévy, écrivain, directeur de la revue La Règle du jeu, s'exprime ce matin dans Libération. J'applaudis cette prise de position, qui ne me surprends pas. Comme de nombreuses personnes que j'ai rencontrées ces derniers jours, l'attitude de bon nombre de responsables socialistes a décontenancé de nombreux électeurs de gauche pour qui la rupture est de plus en plus forte. je vous propose l'article de BHL. Marine Le Pen n’y suffisait pas : il a fallu que la jeune garde socialiste, Benoît Hamon en chef de file, vole au secours du nouvel ordre moral qui, depuis quinze jours, semble tourner des têtes que l’on croyait immunisées contre le moralement correct cher à nos Pères et Mères la Pudeur, type Christine Boutin ou Philippe de Villiers. Et voici donc un événement considérable, et qui semblait impensable à ceux qui, comme moi, avaient mis leur espoir dans ce groupe de quadras - Benoît Hamon donc, mais aussi Manuel Valls, Arnaud Montebourg... - qui portaient, avec d’autres, les couleurs de la rénovation à gauche : l’alliance folle, profondément contre-nature, suicidaire, entre des héritiers de Jaurès et le parti d’un homme qui, jadis, à Alger, partit faire du tourisme parachutiste autrement plus olé olé que celui dont Frédéric Mitterrand a fait lui-même, il y a quelques années, dans un livre unanimement salué par la critique, l’aveu public et désolé. Une fois de plus, et comme dans l’affaire Polanski dont cette affaire-ci est, hélas, la suite à la fois logique et délirante, il ne s’agit pas d’excuser des pratiques que leur auteur a eu la franchise de révéler en son temps, et à son entier détriment. Mais il s’agit, premièrement, d’observer le spectacle navrant de cet escadron de vertueux, estampillé socialiste, qui fonce droit dans le piège tendu par ses pires adversaires. Et il s’agit, deuxièmement, de savoir si l’on va, désormais, devoir fouiller dans la vie de chacun d’entre nous pour évaluer, dans notre passé, pourquoi pas dans notre adolescence, ou même dans notre prime enfance, notre degré de «moralité». Responsables, ou futurs responsables, qui, dans vos écrits ou confessions, aurez pris le risque de rapporter telle ou telle histoire, passion, bonne ou mauvaise action, apprenez désormais à vous taire ou sachez, à défaut, que vous serez du gibier de média et d’agora. Artistes, romanciers, diaristes, journalistes, qui, dans vos fictions et vos autofictions, croiriez bon de nous instruire de telle ou telle tentation, perdition, perversion, turpitude, regardez-y à deux fois car vous devez savoir qu’à gauche comme à droite, au nom de la défense des bonnes mœurs, on vous jettera en pâture à l’opinion et l’on sonnera contre vous l’hallali. André Malraux, qui fit publiquement l’aveu d’un penchant pour les paradis artificiels contracté dans sa jeunesse et jamais véritablement conjuré, ne resterait, aujourd’hui, pas ministre cinq minutes. Blum à qui il arriva, au temps de La Revue blanche, de faire l’éloge de l’adultère et de l’extrême liberté de mœurs pour les jeunes filles emprisonnées dans le carcan des familles, devrait se tenir à carreaux de peur d’être dénoncé comme pédophile par les Benoît Hamon de service. Gide ne publierait pas Corydon ou ne prendrait plus, s’il l’avait fait, la présidence des Comités antifascistes de 1934 ; Jean-Jacques juge de Rousseau finirait avec ses Confessions pendues autour du cou ; et ne parlons pas de Jean Genet dont le Journal d’un voleur ne trouverait tout simplement plus éditeur. La nouvelle Brigade des mœurs veille. Triste époque.

A Sèvres, allez donc visiter l'exposition Pierre De Grauw.

Hier à l'occasion du vernissage de l'exposition consacrée à l'artiste sévrien Pierre de Grauw, j'ai eu l'occasion de voir ou de revoir 48 oeuvres de l'artiste qui, bien qu'habitant notre commune depuis 1979, travaille dans son atelier situé à Bagneux. Il était plus que temps que la ville dont il est un citoyen actif et exigeant le connaisse, le reconnaisse. Je suis d'autant plus heureux de l'initiative prise par le Maire de la Commune, François Kosciusko-Morizet et par son adjoint à la culture Grégoire de la Roncière, que lorsqu'avant les dernières élections municipales de 2008, rencontrant FKM, je lui faisait part de deux recommandations, celle d'honorer le sculpteur Achiam et celle de faire venir à Sèvres l'oeuvre de Pierre de Grauw. Je connais Pierre de Grauw depuis plusieurs années et je me souviendrais toujours d'une soirée que j'organisais dans le cadre des Débats séviens de Sèvres Demain dont l'invité était le Professeur Axel Kahn, du débat de haute tenue entre notre invité et Pierre de Grauw. Un grand moment de dialogue intellectuel. Car ne nous trompons pas, Pierre de Grauw est un artiste mais aussi un intellectuel, un humaniste à la recherche du bonheur, de la paix au dela de toute division. Sa vie en témoigne. Théologien de formation, cet artiste d'origine néerlandaise,né à Utrecht, n'a cessé d'illustrer par sa sculpture les différents visages de l'ame humaine. Inspirée de la Bible, son oeuvre incarne les grands mystères de la vie. Porteur du Livre fondateur des trois grandses religions monothéistes, Pierre de Grauw est un européen militant et convaincu. Hier, j'ai été heureux de l'entendre citer une phrase d' André Neher pour situer sa vision du monde. Le discours qu'il a prononcé, en remerciement aux paroles du Maire de Sèvres, à l'occasion du vernissage, était l'expression de la réflexion d'un grand homme, d'un grans ariste. Comme l'écrit Valérie Da Costa, Maître de conférences en histoire de l'art contemporain à l'Université Marc Bloch de Strasbourg, son œuvre est silencieuse, c'est-à-dire qu'en regardant chacune de ses sculptures, on ressent ce sentiment d'introspection et de recueillement qui domine l'esprit de sa création. Les formes mêmes demeurent dans le mutisme, à peine évidées, conçues par l'artiste pour contenir en elles un message qui parle avec pudeur et retenue de l'homme, au-delà du sacré et du profane. Son oeuvre est mise en valeur dans ce site du Parc Nautique de l'Ile Monsieur. L'exposition est ouverte jusqu'au 1er novembre prochain. Un moment de bonheur!

A Meudon, l'autre musée Rodin.

Jacques Doridam et Gaëlle Grandon publient un texte sur les inattendus jardins des musées et font découvrir aux lecteurs du Parisien les deux faces du musée Rodin. Ici, c’est pas comme en bas, on peut s’installer sur le gazon. En bas ? C’est au coeur de Paris, rue de Varenne, au musée Rodin. Ici ? C’est sur les hauteurs de Meudon, dans les Hauts-de-Seine, l’autre musée Rodin. Celui qui n’est ouvert que trois après-midi en fin de semaine dans l’ultime maison où le sculpteur a vécu mais dont le parc a le seul mérite que l’on s’y promène tout l’après-midi. « C’est ce que font d’ailleurs bon nombre de visiteurs, explique Salvator Nahimana, chargé de l’accueil du public. Les gens que nous voyons repartir les derniers à la fermeture des grilles sont souvent ceux qui étaient là aux premières minutes de l’ouverture. Et parmi eux, il y a de nombreux étrangers, notamment des Japonais. » Accueillis par une double rangée de marronniers, les visiteurs n’ont que l’embarras du choix. Pelouse largement ensoleillée agrémentée d’un figuier, magnolia et prunus ou gazon ombragé et bordé d’acacias imposants. A moins qu’ils ne préfèrent la fraîcheur plus prononcée des massifs de buis et de lauriers aux tailles impressionnantes. A deux pas du tombeau du sculpteur, surmonté d’un exemplaire de son célèbre « Penseur » en bronze, on peut aussi découvrir le panorama sur Meudon, Saint-Cloud et les tours de Boulogne. « Au fil des heures, les gens passent en fait d’un endroit à un autre », ajoute encore le guide. Ce qu’apprécie Geneviève, 48 ans, factrice parisienne venue en repérage sur les conseils d’une amie : « Je vais revenir avec mes trois enfants et nous allons emmener notre Trivial Pursuit et le goûter. » Seule interdiction, les jeux de ballon…
Musée Rodin, 19, avenue Rodin, à Meudon (92), d’avril à septembre les vendredis, samedis et dimanches de 13 heures à 18 heures. Entrée parc et musée 2  et 4 . Gratuit pour les moins de 26 ans. Gratuit ce dimanche (comme chaque 1er dimanche du mois). RER C Meudon-Val-Fleury. Tél. 01.41.14.35.00.
Musée Rodin de Paris, 79, rue de Varenne, Paris VIIe. Jardin ouvert de 9 h 30 à 18 h 45 tous les jours, sauf le lundi. Entrée : 1 . Gratuit ce dimanche. Mo Varenne. Tél. 01.44.18.61.10.

Vendredi 12 juin, sur France 2

Ne manquez pas Vendredi 12 juin 2009, à 20 h 35 le documentaire Désobeir, consacré à Aristides de Sousa Mendes France 2 présente un film de Joël Santoni, avec : Bernard Le Coq, Aristides et César de Sousa Mendes • Nanou Garcia, Angelina de Sousa Mendes • Lionel Lingesler, Pedro Nuno de Sousa Mendes • Roger Souza, Seabra • Frédéric Quinring, Le rabbin Kruger • Émilie-Scarlett Moget, Andrée Cibial • Paulo Matos, Salazar. Musique originale : Serge Franklin D’après une idée originale de Martine Chicot • Scénario, Adaptation et Dialogues José-Alain Fralon, Jean-Carol Larrive et Joël Santoni. En mai et juin 1940, à Bordeaux et en zone libre, arrivent par milliers des réfugiés fuyant l'avancée des troupes du 3e Reich. En quelques semaines, Bordeaux voit sa population tripler. Ces nouveaux arrivants cherchent à atteindre Lisbonne, seul port d'Europe ouvert vers le monde libre. Entre le 17 et le 25 juin 1940 le consul du Portugal à Bordeaux, Aristides de Sousa Mendes au péril de sa carrière diplomatique, a délivré plus de 30 000 visas à ces réfugiés, dont 10 000 juifs, contre les ordres iniques et inhumains dictés par le premier Ministre portugais, Salazar. Par son action et son courage, il a sauvé de l'Holocauste des milliers de gens considérés " indésirables " par le régime nazi. Aristides de Sousa Mendes et toute sa famille furent condamnés à l'oubli et à la misère par un procès administratif. On estime que ce fut la plus grande action de sauvetage menée par un seul homme durant la Seconde Guerre mondiale. Il fut nommé " Juste parmi les Nations " en 1961, puis réhabilité par l'Assemblée nationale portugaise en 1988.

A Sèvres, exposition "Dark Pearl" à La Générale en Manufacture

Le collectif curatorial, Pilottti a le plaisir de présenter l’exposition collective Dark Pearl, à la Générale en Manufacture, 6 Grande Rue 92310 Sèvres, le 24 mai 2009. Cette exposition bipartite est l’occasion de découvrir le travail d’une vingtaine d’artistes issus d’univers différents et engagés sur la scène artistique hexagonale et européenne ; ainsi qu’une expérience collective et transversale, Kraken, constitutive de l’exposition. Mêlant œuvres existantes et productions spécifiques, l’exposition explore les origines du processus de création, les mécanismes de séparation, d’union ou d’abandon qui accompagnent le passage à l’acte, la prise de décision. Jouant d’un rapport complexe entre réalité et fiction, Dark Pearl est une dérive possible, un élément fantomatique qui accompagne les artistes et les commissaires pour les aider à se réaliser ou à se perdre. Afin d’expérimenter son Dark Pearl, Pilottti propose Kraken, une zone de documentation éphémère et utopique, une architecture grotesque et protéiforme qui tente d’organiser des idées et d’accumuler des références passées et à venir sur des expériences artistiques multiples. Ce projet a vu le jour grâce à de nombreuses collaborations notamment avec les artistes de l’exposition, des commissaires et des éditeurs invités. Dans cette optique, Dark Pearl/Kraken apparaît comme une zone intermédiaire subjective où se développent des idées, des espaces et des économies autres. Une proposition de Pilottti, Aude Berthelot, Tiphanie Dragaut, Marie Lancelin. Vernissage le 24 mai de 16h à 23h 16h-23h : Cantine mobile, Caroline Wallace (Restauration prix libre) 18h : Dark reality, Performance de l’Internationale Surplace, Marie Rotkopf et Daniel Megerle 19h-23h : Dj Set Artistes : Nadia Agnolet & Guillaume Soulatges, Antoine Aguilar, Alexandre Barth, Aline Bouvy et John Gillis, Dae Jin Choi, Francois Delagne, Philippe Eydieu, Marc Geneix, International Surplace (Marie Rotkopf et Daniel Megerle), Hugues Jouvin, Sébastien Maloberti, Nick Oberthaler, Emilie Perotto, Nicolas Roggy, Ernesto Sartori, Charlie Youle et Bevis Martin, We Are The Painters. Avec la participation de : James Bouquard, Sarah Tritz, Pierre Vialle, Leila Simon et Kana Sunayama de l’association Untitled, Les éditions Particules, le groupe Laura, le Cneai, Code, Modèle Puissance (Vanessa Dziuba, Julien Kedryna, Nicolas Nadé, Jean-Philippe Bretin), le collectif autrichien Black Pages (Christoph Meier, Ute Müller and Nick Oberthaler), le collectif suisse Marksblondproject (Daniel Suter, Yves Ackermann), ALF13bis (Philippe Eydieu), In Extenso (Marc Geneix et Sébastein Maloberti), le collectif Whiteweekendkites (Yoichi Ozawa, Jean-Philippe Sanfourche et Taichi Sunayama). La Générale en Manufacture : 6, Grande Rue 92300 Sèvres/Métro ligne 9, station Pont de Sèvres, (sortie 2 : Alphonse Le Gallo), direction Musée de la céramique / Tramway : ligne 2, Musée de Sèvres. Ouvert du lundi 25 au jeudi 27 mai de 12h à 19h et sur rendez-vous

Rock en Seine dans le Parc de Saint-Cloud, les 28,29 et 30 août 2009

Oasis, Faith no more, The Prodigy, Madness et Just Jack font partie des têtes d’affiche de la septième édition du festival rock de l’été francilien. Les billets sont en vente depuis le 8 avril. Rendez-vous incontournable des amateurs de décibels, le festival Rock en Seine revient, en partenariat avec la Région, les 28, 29 et 30 août au domaine national de Saint-Cloud. La quarantaine de concerts prévus pour cette septième édition promettent d’en mettre plein la vue et plein oreilles aux milliers de festivaliers attendus. La programmation complète ne sera connue que mi-mai mais les places sont déjà en vente. Têtes d’affiches annoncées : le quatuor anglais Oasis dont le dernier album Dig out your soul est sorti en 2008, le groupe culte Faith no more absent de la scène depuis 1998, The Prodigy ou encore MGMT. Autres pépites programmées : l'électro de Just Jack, le swing de Robin MacKelle, la soul de James Hunter. Pour la quatrième année consécutive, l’équipe du festival réservera une place de choix dans sa programmation à six jeunes talents de la scène rock francilienne. Les jeunes pousses, dont les noms ne seront dévoilés que fin mai, se produiront devant les festivaliers lors d’un concert d’une heure. Et figureront sur un disque Les Avant Seine, dont le conseil régional parraine l’édition Cette année, le Domaine de St Cloud accueillera donc: le vendredi 28 : Oasis, Madness, Bloc Party, Amy MacDonald, Vitalic, Vampire Weekend, Just Jack et James Hunter le samedi 29 : Faith No More, The Offspring, Birdy Nam Nam, Esser et Kitty Daisy and Lewis le dimanche 30 : The Prodigy, MGMT, Eagles of Death Metal, Sliimy, Robin McKelle, Sammy Decoster et Baba Maal Rock en Seine entend cette année programmer une quarantaine de concerts, à cette vingtaine de noms s'ajouteront donc au fil des semaines de nouvelles têtes. Les places sont d'ores et déjà en vente: Pass 3 jours à 99 € Billet 1 jour à 45 € et pour ceux qui souhaitent se faire rembourser leurs places de 2008, suite à l'annulation d'Amy Winehouse, vous pouvez toujours le faire sur le site de Rock en Seine jusqu'au 7 mai 2009.